Praf [French translation]

Refrain:

Prends ta femme par les fesses, nique toi le cerveau et comprend bien,

Mon message non-orthodoxe livré en rythme de rap.

J'ai inspiré une fumée bizarre, les dépressions je les ai jetées,

Je me vois dans tes yeux, putain, je suis déchiré.

Nous buvons de l'alcool non pas des rafraichissants dans la cave au soleil,

Ou de toute façon loin du soleil,

Quand je tire trop fort je bouge en reprise (mouvement non stable)

Et je vois des visages qui me demandent de dire des sales paroles.

Je ne stimule pas la collection de vibrateurs,

Au paradis je n'ai pas de réservation, là-bas on paye pour qu'on flotte ou on reste debout.

Je parais toujours au pied de départ, c'est faux comme ma fausse pudeur,

J'suis préoccupé par du vin et des barbecues.

J'suis encore en état de fonctionnement.

N'importe quel jour, qu'on le transforme en fête,

Avec des verres cassés, et non pas avec des confettis et des petits cœurs.

Tu es très triste où il me semble?

Frère, la pute reste une pute même à la 10 ème réincarnation.

Nous avons une mauvaise herbe, qu'on la termine c'est un défi,

Et je vais allumer un gros joint directement à la bougie.

Oui, j'suis ici du pur hasard, et je continue à donner lentement des rimes enivrantes,

Je ne renonce pas à mes pratiques barbares.

Pour un cercle de merde sur la tête et un ensemble d'ailettes,

En me prédisant la fin dans une grande pauvreté.

Une claire-voyante parle dégoûtamment et meurt,

Qu'on s'enivre putain, il y a une certaine vexation ?

Refrain (x2):

Prends ta femme par les fesses, nique toi le cerveau et comprend bien,

Mon message non-orthodoxe livré en rythme de rap.

J'ai inspiré une fumée bizarre, les dépressions je les ai jetées,

Je me vois dans tes yeux, putain, je suis déchiré.

J'évite, la foule en vitesse, frappé terriblement par le vin,

Je vous invite dans le Paradis liquide, en vidant.

Avec deux claques à la place des armes, il n'y en a pas beaucoup,

Mais je frappe l'homme quand il est chaud car s'il est froid, il pue. (bleah)

Dans la cour de la villa de ton père, je dégueule sur le chien et je pisse sur ton pommier,

En même temps que trois putes partages une bite à trois comme Ciom.

Ça pue la vache chaude et tu fais sortir de la fumée,

T'as du talent quand je te prends en levrette et je t'enfonce le visage sur le barbecue. (hahaha)

Des étincelles sortent des haut-parleurs, ta maison brûle,

Tu bouges sur le beat bourrée et sur les arcades le plafond tombe.

Je le tiens en chaines et en coups de pied ton frère celui le bon qui dit:

Regarde papa, boum boum, j'ai un petit tank dans le cul.

Oo, tout dégénère quand ta mère est triste, encore frère!

Je lui enfonce dans la gueule de l'herbe et elle se comporte comme une corde.

Elle me met un papillon noir dans la poitrine, trop bien!

Et elle me montre une photo de ta grande mère éclairée par une bougie.

Elle jette avec de la "coliva" (=gâteau en usage rituel - enterrement) moi avec de la salive,

Oh, vous me mettez dehors, d'où j'aurai pu savoir putain que ce n'était pas une soirée mais une aumône? (=cérémonie religieuse)

Refrain (x2):

Prends ta femme par les fesses, nique toi le cerveau et comprend bien,

Mon message non-orthodoxe livré en rythme de rap.

J'ai inspiré une fumée bizarre, les dépressions je les ai jetées,

Je me vois dans tes yeux, putain, je suis déchiré.