Que ça ne resemble pas à une chanson d'adieu,
Que jamais on nous surprenne dans la voiture,
Avec des cris et des brutalités avec la vie,
Qu'on garde pour nous les reproches.
Que tu reviennes et je t'attends tranquillement,
Quitte-moi le chemisier par le dos,
Sous le manteau, une stratégie
Pour nous attaquer sans qu'on ne note rien.
Et que personne ne te rende mon amour,
Et que rien ne te puisse vaincre.
Qu'en nous parlant, nous restions sans voix,
En tout oubliant et avec le feu.
Qu'on nous enlève le pansement, après,
Quand l'eau revient nous couvrir.
Que si nous ouvrons les yeux, ce soit
Parce que nous voulons nous voir.
Car si je m'en vais toujours, je te manque,
Sans que cela te compromette un seul instant,
Nous racontons au coœur que nous savons déjà
Retomber sur nos pieds, comme les chats.
Et je t'embrasse si fort, mon amour,
Car rien ne peut te briser,
Car jamais tu ne me laisses sans voix,
Si je te croise.
Qu'on nous enlève le pansement, après,
Quand l'eau revient nous couvrir.
Que si nous ouvrons les yeux, ce soit
Parce que nous voulons nous voir.
Et je t'embrasse si fort, mon amour,
Car rien ne peut te briser,
Car jamais tu ne me laisses sans voix,
Si je te croise.
Qu'on nous enlève le pansement, après,
Quand l'eau revient nous couvrir.
Que si nous ouvrons les yeux, ce soit
Parce que nous voulons nous voir.