//On m’a dit que le vent qui venait
Par rafales, on ne sait d’où,//
Qu’on a cherché à débusquer
Sans savoir où il se cache,
Cette passion qui fut mienne
Et ce hurlement, sont sans réponse.
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//Monts et vallées parcourus
Nous racontent la fin du monde//
Avec tant de distance et cachés,
Remplis d’un silence profond,
Et ces cinq sens qui sont miens
Gémissent à chaque seconde.
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//La nuit tu fuis la lune,
Le jour le soleil ne te voit pas,//
Il n’y a personne qui connaisse
La raison de ce Pourquoi,
Quant à ma vie elle continue
A être à ta merci.
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//Je sais, tu existes parce que tu existes,
Parce que tu étais dans le vérité,//
Et parce qu’en vérité, tu résistes
A cette grande nostalgie.
Cela réjouit mes yeux tristes,
Et parfois, me réchauffe le cœur.