Ponciana, ne me dis pas
Que tu es enceinte de ce bougre de Chanate
Ponciana, toi qui es si jolie
Que j’ai élevée à la sueur de mon front
Dans la largesse, bien habillée et choyée
Tu es promise à cet émigrant de la Hollande
Mon compère est venu me voir hier
Il m’a dit que son fils
Viendra au mois d’août en vacances
Et par la grâce de Dieu avec toi il se mariera