L'été arrive, l'hiver s'en va,
Mais nous sommes toujours là,
Pas besoin de pression, pas besoin de changer,
Ne dévoilons pas notre jeu.
Avant, j'étais un espace vide,
Une photo sans visage,
Mais grâce à ta présence et à ta grâce,
Tout rentre à sa place.
Mais ne dis pas que tu m'aimes,
Car il se pourrait que je ne te le dise pas en retour,
Ce n'est pas pour autant que mon coeur ne s'arrête pas quand tu me regardes comme ça.
Inutile de s'inquiéter quand tu vois où nous en sommes.
Mais ne dis pas que tu m'aimes,
Car il se pourrait que je ne te le dise pas en retour.
Les mots lourds sont durs à assimiler,
Sous pression, les choses précieuses peuvent se briser,
Et ce que l'on ressent est difficile à feindre,
Alors ne dévoilons pas notre jeu.
Seuls les idiots se précipitent.
Et j'ai déjà été l'idiote,
Cette fois, je vais ralentir,
Car je crois que ça pourrait bien plus,
La chose que je recherche.