Pour toi, j'utilisais ma épargné de demi-an et je suis passé à travers la mer te voir.
Pour ces retrouvailles, je me suis entraîné à respirer pour nous rencontrer.
Les langues n'exprimaient jamais une sur million de mes sentiments.
Pour ce regret, je pensais d'avant en arrière dans la nuit et n'aurais pas vouloir dormir.
La mémoire, elle s'est accumulée petit à petit dans mon coeur et n'arrivais pas à éffacer.
Pour tes promesses, je refoulais mes larmes dans le désespoir.
Un village étrangé, un coin famillier...
On s'est consolé, et s'est embrassé en se soupirant
Malgré en face de quel genre de résultat
Sous des flocons de pousière, regardant t'es s'en allé, j'étais triste hors de contrôle.
(J'ésperais que je pourais t'émmener à mille milles d'ailleur jusqu'à la fin du monde,
Se serrant contre toi toute ma vie)
Répéter*,()