Je me souviens encore de ces souvenirs comme si c’était hier.
Je suis un peu de mauvaise humeur pour cette raison,
Car une partie de moi est toujours triste.
Chacune de mes blessure me font encore souffrir amèrement.
C'est pour cette raison que mon océan est dense,
Que mes rivages sont toujours un peu désolés.
Je brûle et je m’éteins, Je pleure et je souri.
Mes joies sont toujours acres dans les pièces.
Les douleurs sont hautes comme des montagnes,
Des tempêtes à l’intérieur de moi,
Dont mes seuls témoins sont mes chansons.
Quand je bats des cils à la vie j’espère encore
Quand je fleurie, l’automne est dejà entrain de frapper à ma porte
Je suis arrivé à connaitre et à gouter à la coquetterie de la vie très tôt
Mais je suis devenu grand prématurément,
Maintenant les jours de mon enfance sont perdu
Je brûle et je m’éteint, Je pleure et sourie
Mes joies sont toujours acres dans les pièces.
Les douleurs sont hautes comme des montagnes,
Des tempêtes à l’intérieur de moi,
Dont mes seules témoins sont mes chansons.
Quand je bats des cils à la vie j’espère encore.
Quand je fleurir, l’automne est déjà entrain de frapper à ma porte.