Parce que c’est bon, bon, bon
de me serrer contre toi, toi, toi,
je passerais ma vie à ça, ça, ça
simplement parce que c’est bon.
Parce que c’est doux, doux, doux,
ta main dans ma main qui joue, joue, joue,
j’ai des frissons dans le cou, cou, cou,
je t’avoue parce que c’est doux.
C’est fou quand tu m’embrasses.
C’est fou mais j’oublie tout.
Parce que c’est bon, bon, bon
de m’endormir près de toi, toi, toi
tous deux sous le même toit, toit, toit,
j’ai le cœur tout plein de joie.
Parce que c’est bon, bon, bon,
chaque jour je t’aime mieux, mieux, mieux
mais je joue avec le feu, feu, feu
parce que tu n’es qu’un démon.
Quand tu es là, là, là,
mes jours sont un paradis-dis-dis.
Dis-moi si tu m’aimes aussi-si-si—
sinon je ne te lâche pas
Ma vie quand tu n’es pas là—
ma vie ne compte pas.
Parce que c’est bon, bon, bon,
tu me fais tourner en rond, rond, rond.
À ton cou, je fais des bonds, bonds, bonds
et tout ça parce que c’est bon.
Toi et moi, on ne s’en fait pas.
On ne se crée pas de problèmes.
Je me fous un peu de tout—
de tout, puisque tu m’aimes.
Ah oui!
Parce que c’est bon, bon, bon
quand tout bas tu dis je t’aime, t’aime, t’aime,
c’est le plus beau des poèmes-èmes-èmes.
Aimons-nous parce que c’est bon?
Parce que c’est trop, trop, trop,
trop d’amour pour un seul cœur, cœur, cœur,
tant pis si parfois je pleure, pleure, pleure—
si je pleure de t’aimer trop.
Plus fort, oh, serre-moi plus fort—
plus fort, plus fort encore.
Parce que c’est bon, bon, bon,
je te donnerai mes nuits, nuits, nuits.
Sans ton amour, je m’ennuie-nuie-nuie.
Je suis à toi pour de bon—parce que c’est bon.