Paradiso, vallée du bonheur,
Paradiso, dans mon cœur,
je t’appelle en rêvant de toi
mais tu es si loin de moi.
Mais souvent mon coeur a de la peine
quand je pense à tous les jours passés.
Nous étions là, près de la fontaine,
lui et moi par un beau soir d’été—
par un beau soir d’été.
Paradiso, nous avons juré,
Paradiso, de garder
l’espérance dans nos coeurs d'enfants
et la chance nous attend.
Je sais qu’un jour sous tes frais ombrages
pour toujours, je le retrouverai
pour m'offrir à son coeur resté sage
et bientôt là-bas, dans la vallée—
là-bas, dans la vallée.
Le cortège de tous nos amis,
Paradiso, c’est promis,
à l’église nous emmènera—
à l’église, lui et moi.
Paradiso, nous serons unis,
Paradiso, pour la vie,
belle et fière d'être pour nos coeurs
la chaumière du bonheur.