Dit par mille voix
que le mal édente :
faites que je voie,
faites que j’entende.
Et de voix plus grandes,
ô, triste charroi :
faites que je voie,
faites que j’entende.
Ces voix se suspendent
au dernier pourvoi :
faites que je voie,
faites que j’entende.
Quelles mains se tendent
pour un Dieu de bois ?
Ces bouches gourmandes
pour un Dieu de bois.
Dit par mille voix
pour un Dieu de fer :
(par toi et par moi)
« Faites que j'espère. »