Regarde il a fait monté la mariée bigleuse sur le croupion de son cheval
Il a enveloppé de caftan pourpre, sa taille de bois
Ahh donnez la moi que je brise la main noire de la peau de sorcière
Toi la complotiste, que ton apocalypse arrive
Toi, avec cet intérieur malsain, quel jour vas-tu vivre sereinement
Ah faudrait déposer sur cette maigrelette, une couverture Atlas*
Ah ah que brûle, que ton foyer ta maison ai honte
Que ton Agha ton oncle, t'applique du henné rouge partout
Que le sort s'acharne sur nous, quel dot ai-je préparé labeur après labeur
Qu'Allah fasse ce qu'il lui semble
Un tel défi ne peut exister, oh cruel chéri
Une destiné forcé ne peut être, oh traître chéri
M'en fou, m'en fous, m'en fous
Prends-moi, prends-moi ne la prends
M'en fou, m'en fous, m'en fous
Prends-moi, prends-moi ne la prends
Tant que reste en moi ces cerises orphelines rouge vif
Toute seule la nuit noir, m'endormant difficilement
Chéri, les loups et renards hurlant sous ma jupe
Si tu ressent pareil que ton apocalypse arrive aussi
Toi, avec cet intérieur malsain, quel jour vas-tu vivre sereinement
Ah faudrait déposer sur cette maigrelette, une couverture Atlas*
*Couverture Atlas : Grosse couverture à base de coton et orné pesant environ 36kg