Oh, que les heures étaient douces quand, dans la foule joyeuse de l'allégresse,
Je menais les réjouissances en dansant et en chantant.
Avec la fraîcheur de la fontaine et l'éclat du jour,
Mes esprits débordaient et s'enfuyaient en pétillant !
Du vin ! Viens m'apporter du vin pour me réjouir
Ami de mon cœur ! Viens me soutenir !
Du vin ! Jusqu'à ce que les rêves de la jeunesse soient à nouveau près de moi.
Pourquoi doivent-ils me quitter, dis-moi, pourquoi ?
Revenez, heures douces ! Laissez-moi voir une fois de plus
Vos formes légères et aériennes d'enchantement et d'allégresse.
Venez, donnez à un vieil ami, alors qu'il remplit son verre joyeux,
Un signe de tête quand vous vous séparez et un sourire quand vous passez.
Du vin ! Viens m'apporter du vin pour me réjouir,
Ami de mon cœur ! Viens me faire des promesses !
Du vin ! Jusqu'à ce que les rêves de la jeunesse soient à nouveau près de moi !
Pourquoi doivent-ils me quitter, dis-moi, pourquoi ?
Je ne peux pas t'oublier, je ne veux pas te quitter.
Il y a de la vitalité dans mon pouls, et un charme dans mon vin !
Et le soleil de l'automne, bien qu'il passe trop tôt,
Est plus doux et plus cher que le soleil de juin.
Du vin ! Viens m'apporter du vin pour me réconforter
Ami de mon cœur ! Viens me soutenir !
Du vin ! Jusqu'à ce que les rêves de la jeunesse soient à nouveau près de moi.
Pourquoi doivent-ils me quitter, dis-moi, pourquoi ?