Je t'appelle,
Mais tu n'entends pas, voilà le souci;
La route ne mène nulle part,
Bien que tout soit plus près...
Mon bel ami, tu as raison,
Il ne faut plus me suivre.
Dieu accordera et tu entendras une voix derrière le mur,
Bien qu'elle se fasse plus ténue...
Un jour, quand la soif
Affaiblira ce monde,
Et chacun comprendra enfin
De quoi il est coupable.
Nous nous regarderons les uns les autres
Dans les yeux et nous nous séparerons comme des oiseaux
Qui ne reviendront plus jamais ici.
Mais quelque chose fera retentir une note à peine audible,
Et quelqu'un ouvrira la porte sur la lumière du soleil.
Et nous marchons ensemble, nous chantons de jolies chansons le long de la Presnia;
Et il n'y a au monde ni mort, ni temps. (×2)
Et il n'y a au monde ni mort, ni temps;
Et il n'y a au monde ni mort, ni temps. (×2)