Les jours passent, passent, passent
Et tu ne reviens pas ici
Et j'ai vu un tas de, un tas de lundis
Venir en dessous, les mains au dessus, le nez cassé
Et la volonté de, volonté de, volonté de
Volonté de boire et des vendredis
Pour ne plus te voir dans les yeux bleus
D'une étrangère dans mon lit qui n'est pas toi
Qui n'est pas toi...
Et qu'en savent les autres
Des moments où nous rentrions tard et pleins de griffes
Qu'en savent les autres
Des moments où nous riions comme des fous
Et qu'en savent les autres
Des moments où nous courions comme des fous
Et qu'en savent les autres
De nos yeux se mélangeant et devenant jaunes, jaunes
Et les jours restent, restent, restent et tu ne reviens plus
Et j'ai eu beaucoup de blessures stupides
Sur ma peau, sous ma peau, sous les étoiles
Et la volonté de, volonté de, volonté de
Volonté de sortir d'ici
Pour ne plus te voir dans les yeux bleus
D'une étrangère dans mon lit qui n'est pas toi
Qui n'est pas toi...
Et qu'en savent les autres
Des moments où nous rions comme des fous
Et qu'en savent les autres
Des moments où nous courions comme des fous
Et qu'en savent les autres
De nos yeux se mélangeant et devenant nombreux