Je sais que tu dois croiser la route
De la liberté,
Entre les bêtes sauvages, tu marches, sûre de toi
Si profonde, si naturelle,
Cherchant à aimer un homme enfermé
Dans la tempête.
Je n'ai pas besoin de te voir pour le savoir,
Je suis le prisonnier de tes rêves.
Et en me réveillant
Je garde les yeux entrouverts,
Les mensonges brisent,
Je n'ai pas besoin de te voir pour le savoir.