Des nuits de satin blanc qui ne finissent jamais,
Des lettres que j'ai écrites sans jamais avoir l'intention de les envoyer.
La beauté que je manquais toujours avant avec ces yeux.
Je ne peux plus distinguer la vérité.
Car je t'aime, oui, je t'aime, oh, comme je t'aime.
Je regarde les gens, certains main dans la main,
Ils ne peuvent pas comprendre ce que je traverse.
Certains essayent de me faire part de pensées qu'ils ne peuvent défendre,
Tu finiras par être ce que tu veux être.
Et je t'aime, oui, je t'aime,
Oh comme je t'aime, oh comme je t'aime.
Des nuits de satin blanc qui ne finissent jamais,
Des lettres que j'ai écrites sans jamais avoir l'intention de les envoyer.
La beauté que je manquais toujours avant avec ces yeux.
Je ne peux plus distinguer la vérité.
Car je t'aime, oui, je t'aime,
Oh comme je t'aime, oh comme je t'aime.
Car je t'aime, oui, je t'aime,
Oh comme je t'aime, oh comme je t'aime.
Inspire profondément
L'obscurité croissante
Regarde les lumières s'affaiblir
De chaque pièce
Les gens dans les studios
Se retournent et déplore
L'énergie inutile gâchée
D'une nouvelle journée
Les amants passionnés
Ne font qu'un dans la lutte
L'homme solitaire réclame de l'amour
Et n'a personne
Une jeune mère prend son fils dans ses bras
Et allaite son fils
Les personnes du troisième âge
Souhaiteraient être jeunes
Le globe au coeur de glace
Qui règne sur la nuit
Dérobe les couleurs
À notre vue
Le rouge est gris et
Le jaune est blanc
Mais nous décidons
De ce qui est réel
Et
De ce qui est une illusion