À New York, la liberté ressemble à trop de choix
À New York, j'ai trouvé une amie pour noyer toutes les autres voix
Les voix sur mon portable
Les voix de la maison
Les voix de la vente agressive
Les voix au bas de l'escalier
À New York, je viens de m'acheter une maison à New York
À New York, les étés sont chaud, bien au-delà de 100 degrés
Impossible de faire le tour du bloc sans devoir changer de vêtements
Aussi chaud qu'un séchoir à cheveux dans ton visage
Aussi chaud qu'un sac à main et une conserve de macis
À New York, je viens de m'acheter une maison à New York
New York, New York
À New York, tu peux oublier, oublier comment relaxer
Tu te dis que tu vas rester à la maison,
Mais tu te retrouves à Alphaville
New York, New York, New York
Les irlandais viennent ici depuis des années,
Ils ont l'impression que la ville leur appartient
Ils ont l'aéroport, l'hôtel de ville, le béton, l'asphalte, ils ont même la police
Irlandais, italiens, juifs et hispaniques
Fanatiques religieux et politiques dans tous leurs états,
Vivant dans la joie comme toi et moi
C'est là que je t'ai perdue...New York
New York, New York
À New York, j'ai tout perdu à cause de toi et de tes vices
Mais je reste quand même afin de traverse ma crise de la quarantaine, j'ai frappé un iceberg dans ma vie,
Mais tu sais que je suis toujours à la surface
Tu perds l'équilibre, tu perds ta femme
Dans la file menant aux radeaux de secours
Tu dois faire passer les femmes et les enfants d'abord,
Mais tu as une soif inaltérable pour New York
New York, New York
Dans l'immobilité de la soirée,
Lorsque le soleil avait terminé sa journée,
J'ai entendu ta voix qui me murmurait
"Viens maintenant"
New York, New York