Bois jusqu'à la lie, ne peure pas, mon amour.
Les mots sont désormais comme la neige en mars.
Vole, seule, découvre la réponse
Quant à lui, tu ne trouveras pas la vérité dans ses yeux.
Ta photo préférée ne t'apportera jamais de chaleur,
Vous ne deviendrez jamais plus proches, maintenant, qui es-tu, toi, devant le miroir?
Dis ton nom avec plus d'audace, je te jette ces roses à la figure
Et mes rimes d'amour sont devenues de la simple prose.
J'ai eu suffisamment de séparations et de larmes, je n'ai même plus mal!
Je voudrais m'enfuir,
Je voudrais respirer librement, comme le vent dans les champs
Et ne pas te connaître, et ne pas te connaître...
Port de plaisance, brûle,
Et maison étrangère, tu es mon éden.
Vole, seule, pour ton pays merveilleux,
Où ton temple est une rivière sous les eaux de janvier.
Ta photo préférée ne t'apportera jamais de chaleur,
Vous ne deviendrez jamais plus proches, maintenant, qui es-tu, toi, devant le miroir?
Dis ton nom avec plus d'audace, je te jette ces roses à la figure
Et mes rimes d'amour sont devenues de la simple prose.
J'ai eu suffisamment de séparations et de larmes, je n'ai même plus mal!
Je voudrais m'enfuir,
Je voudrais respirer librement, comme le vent dans les champs
Et ne pas te connaître.
J'ai eu suffisamment de séparations et de larmes, je n'ai même plus mal!
Je voudrais m'enfuir,
Je voudrais respirer librement, comme le vent dans les champs
Et ne pas te connaître, et ne pas te connaître...
Bois jusqu'à la lie, ne peure pas, mon amour.
Les mots sont désormais comme la neige en mars.