Tu ne vins chez toi qu'au matin seulement
En t'insinuant à l’entrée
Il téléphona maintes fois en laissant
À sa fille un mot après
Tu peux parfaitement prétendre dormir
Quand il se tourne vers toi te tâter
Mais tu as beau essayer de couvrir
Que tu t’es embarqué pour liberté
Il sait parfaitement quel est ton secret
Il sait parfaitement, ne pas supposer
Que tu puisses vous rembobiner
Tenez, tenez, mais on t’appelle déjà
Tenez, tenez, mais on a bien marquée
Tenez, tenez, mais on t’espère déjà
Tenez, tenez, aussi ta voix timbrée
Chuchote-t-elle un autre nom déjà
Une fois que les yeux de la personne s’ouvrent
Ils se rivent sur toi, te découvrent
Étranger avec un cœur où se trouvent
Des fleuves froids déviés, en coupes
Ce qui était a toujours été
Cela est retransmis en vous
Ce qui passait a toujours passé
Cela permet de se mettre debout
Et ceux qui demeurent le savent parfaitement
Sur le secret sur les faux-fuyants
Ne pouvant point rembobiner
Tenez, tenez, mais on t’appelle déjà
Tenez, tenez, mais on a bien marquée
Tenez, tenez, mais on t’espère déjà
Tenez, tenez, aussi ta voix timbrée
Chuchote-t-elle un autre nom déjà
Han han han...
Tenez, tenez, mais on t’appelle déjà
Tenez, tenez, mais on a bien marquée
Tenez, tenez, mais on t’espère déjà
Tenez, tenez, aussi ta voix timbrée
Chuchote-t-elle un autre nom
Tenez, tenez, mais on t’appelle déjà
Tenez, tenez, mais on a bien marquée
Tenez, tenez, mais on t’espère déjà
Tenez, tenez, aussi ta voix timbrée
Chuchote, chuchote-t-elle un autre nom déjà