Il n’y a rien en vain
Dans l’espace entre toi et moi ;
Dans le silence un cri,
Le oui et le non.
Finalement,
Un morceau de moi-même,
Qui est juste à toi,
Est une tentative sans
Beaucoup d’intention.
Quand je te vois
Me fixant ainsi,
Voyant en moi
Ce que je vois en toi,
Quelle raison
Mesure l’immensité de la soif,
Si elle cède le sens
À la sensation ?
L’illusion
Est le vêtement qui
Te fais revenir,
Qui m’enveloppe et verse
De l’affection et du zèle
Quand je te vois
Me fixant ainsi,
Voyant en moi
Ce que je vois en toi.