Crois-moi, je n’ai plus de force en ma gauche
Hier, j’ai passé la nuit à pleurer
Les médecins ne peuvent y obvier
C’est facile à dire mais difficile à supporter
Tu as du vivre l’hiver toi aussi
Tes mains ont du battre leur coulpe je parie
La vie ne nous a pas éclairée
L'amour, nous étions contraint d'y renoncer
J’espère que toi aussi, toi aussi tu m’oublieras
Et moi je me consolerai, je me bercerai
J’espère que toi aussi, toi aussi tu m’oublieras
Et moi je me consolerai, je me bercerai
Et avec le temps, moi aussi j’oublierai