Femme, je vais te dire combien je t'aime
En chantant la fleur
Que nous avons plantée
Qui est venue à temps
Ce temps qui manque
De tendresse, de prière
De sourire, de charme
Femme, imagine notre étonnement
En voyant la fleur
Qui a tant grandi
Car dans le silence mensonger
Tant avide de tromperie
Elle se doit d'être pure
Avec le cri le plus profane
Avec la grâce du pardon
Et qu'elle fasse venir le jour
Jour après jour plus heureuse
Et qu'elle soit de la joie
Toujours l'apprentie
Je te répète
Ceci est mon chant de louange
Au fruit le plus béni
De notre amour