Mon esprit est en lambeaux au début
Bravo bravo, bravo bravo
Les oreilles toutes craquées, je chahute :
"Quoi quoi, quoi quoi ?"
Et je me fonce à travers les clans, il y a une fille fatiguée qui me fixe d'une mine hagarde
Et je sens le flot de la marée humaine, comment elle me tire pour une autre beignade
En m'éloignant des bords, je donne une baffe à l'air
Je suis portée par une force, la banalité est meurtrière
En m'éloignant des bords, des murs de son à travers
Je vise le ciel
En haut, en bas, devant et intensément
Presque presque, presque presque
Les sommets des cheveux forment un onde de son ensemble
Sueur sueur, sueur sueur
Et ces types savent dans quelle direction les bras tournent comme les moulins le font
Et je tremble lorsque je monte d'un pas les échelons de la perfection
En m'éloignant des bords, je donne une baffe à l'air
Je suis portée par une force, la banalité est meurtrière
En m'éloignant des bords, des murs de son à travers
Je vise le ciel
Je ne vois plus de cercle en ce moment, mon âme détonne !
(Bats, bats, bats, bats en l'air
Je défie l'attraction terrestre
On plane au-dessus de la masse humaine)
En m'éloignant des bords, je donne une baffe à l'air
Je suis portée par une force, la banalité est meurtrière
En m'éloignant des bords, des murs de son à travers
Je vise le ciel
En m'éloignant des bords, je donne une baffe à l'air
Je vise le ciel