Tu dors libre des entraves la culpabilité
Vient le matin que tu éteins
Le souffle du Diable est une maladie sur tes lèvres
Tendant les bras vers ta perte
Tu pourchasses ton troupeau
Débusquant les cœurs plus faibles
Avec de l'éternité entre tes griffes
Et sur un trône de sous-religion de l'âge d'une vie
Ils te mangeront en commençant par ta tête
Avec la lune au dessus et le soleil en dessous
Je ne peux me souvenir du soleil sur ma peau
Esclave d'une peine qui murmure à l'interieur
Je t'attend toujours avant de dormir
Il n'y a pas de confort dans la distance que nous conservons
Dans une rivière de malheur je me noie
Et ta poigne encercle mon cœur
Sa balançant au bord de l'échec
Et soulagé, devrais-je tomber
De la poussière éparpillée sur mes yeux
Une route venteuse t'emmenant nulle part
Une route venteuse m'amenant chez moi
Et là où je vis est ma tombe
En attendant un jour où il n'y a plus rien à dire
Les voix du désespoir sont une familière amitié
Une société dans ta tête tient le code de destruction
Mourir rapidement
L'été meurt rapidement
Et ceci ne peut durer, tout comme rien ne peut durer
Dans une fôret de chair
Il est nécessaire de me couper du bonheur
Le soleil ne plane toujours pas
De retour au dessus de la Terre
L'air est toujours aussi sec
Et la sauterelle attend
Il n'y a pas d'aide en le réveil de nos besoins
Il n'y a pas d'aide pour dissiper la souffrance
Il n'y a pas encore d'aide pour s'accrocher à un spectre
Il n'y a pas d'aide, seulement des cercles sur l'eau
Seulement des cercles sur l'eau