La peur de l’étranger et l’horreur et étrangère
Vous vous l’achetez bien chaque jour,
Vous vous jetez dans la marée des images,
Vous désirez ardemment chaque attentat.
Le sang peut pleuvoir pour les autres,
Aujourd’hui la douleur étrangère vous amuse.
Que se passera-t-il, si le blanc devient trop noir,
Si maintenant la misère vous rattrape ?
Tenez-vous prêts,
Ca y est presque,
Le monde se casse en deux,
Là où autrefois il y avait la vie, ce sera le silence.
Le feu brûle,
L’air devient du plomb
Et là où la Terre était, il y aura des cendres.
Ca y est,
Très bientôt,
Tenez-vous prêts !
Il n’y a pas d’endroit sur les terres,
Que je ne peux atteindre
Et je jure, si je viens,
Que je suis le sauveur et le tyran.
Je détruirai, j’achèverai,
Ce qui doit être fait,
Je plante l’effroi dans les cœurs,
Je vous envoie le baiser de la mort.
Tenez-vous prêts…