Je ne veux pas sonner chez toi,
Pourtant je le fais.
Je ne veux pas penser à toi,
Pourtant je le fais toujours.
Je ne veux pas parler de toi,
Et je ne parle même pas de te voir.
Honte à toi de toujours
T’immiscer dans mes chansons.
J'ai essayé de me persuader
Que tu n'étais en vérité pas si jolie,
Que tu étais stupide
Et que tu ne comprenais à rien,
Que nous n'étions pas vraiment faits l'un pour l'autre.
Pourtant, pour chacun de tes défauts,
Pour chacun de tes défauts,
Pour chacun de tes défauts, je t'aime davantage.
Tu es si magnifiquement orgueilleuse,
Si merveilleusement arrogante,
Si joliment prétentieuse.
Voilà pourquoi je te nomme reine de ma contrée.
Même si tu mens constamment
Et que tu attristes les jeunes hommes,
Tu sembles diablement innocente.
C'est là ton art.
Je ne sais pas être méchant contre toi.
Pour chacun de tes défauts,
Pour chacun de tes défauts,
Pour chacun de tes défauts, je t'aime davantage.
Pour chacun de tes défauts,
Pour chacun de tes défauts, je t'aime davantage.
(Répétitions)