Se sont des sentes de chemins
Oú les roches sont des mines
Brisant les os
de la terre qui geind
Et dont l'espoir reste mutilé
La voix douce de l'enfant
S'agite dans le typhon
Dans un hurlement incontrolable
De souffrances dans l'antre viscerale
Qui ne comprend rien á l'innocence
Les arbres sont en pleurs
Ils sont les témoins de tant d'année de violence
La mer reste sombre,troublée par le sang et la terre brassés
Mais lá ,Ils descendent de la montagne plein d'espoir
"Las madres que den por sus hijos"1
Et pour qui leur livres d'école sont leur rÊves.
Mais lá ,Ils descendent de la montagne plein d'espoir
Hommes et enfants,mal bléssés,cherchant asile
Cherchant un lieu,pour rÊver et aimer.
On ne mérite pas l'oublie
Nous sommes la voix du peuple
Dit un Monsieur assis
Avec ses yeux bandés
Et qui malgrès tout garde l'espoir entre ses mains
Les arbres sont en pleurs
Ils sont les témoins de tant d'année de violence
La mer reste sombre,troublée par le sang et la terre brassés
Mais lá ,Ils descendent de la montagne plein d'espoir
"Las madres que den por sus hijos"1
Et pour qui leur livres d'école sont leur rÊves.
Mais lá ,Ils descendent de la montagne plein d'espoir
Hommes et enfants,mal bléssés,cherchant asile
Cherchant un lieu,pour rÊver et aimer.
ce sont des sentes de chemins...d'artères de cavées
De couloirs d'allées... ce sont des sentes de chemins...d'artères de cavées
De couloirs d'allées...Un labyrinthe.
1. a. b. Structure de phrase incomprise