Passe le jour, passe la nuit,
Les minutes roulent comme les vagues bleues.
Ce n'est pas un souci, ce n'est pas,
Que j'ai dit "Je t'aime" seulement à toi.
Cette douleur n’est pas due, n’est pas due
À l'univers entier qui était alors dans tes yeux.
L'univers sans llimites était alors dans tes yeux,
Mais ma tristesse n'est pas due à cela.
Aucun souci que le vent siffle Février,
Ni que Janvier dessine des fleurs mortes sur la fenêtre.
Le souci n'est pas que tu ne m'aimes pas,
Le problème c'est que je n'arrête pas de t'aimer.
Passe le jour, passe la nuit,
Ne nous en faites pas un putain de temps.
Ce n'est pas un souci, ce n'est pas,
Qu'après la réunion, la séparation sonne sa cloche.
Cette douleur n’est pas due, n’est pas due
Que j’ai entendu ton "Au revoir" dans la nuit bleue.
Ton "Au revoir" sonnait comme une trahison,
Mais ma tristesse n'est pas due à cela.
Aucun souci que le vent siffle Février,
Ni que Janvier dessine des fleurs mortes sur la fenêtre.
Le souci n'est pas que tu ne m'aimes pas,
Le problème c'est que je n'arrête pas de t'aimer.