Tout est si près et si loin,
moins confus, plus serein.
Mais si je sens ta main frôler la mienne
Mon corps se souvient et oublie quand même,
Quand tu m’effleures, je ne suis plus moi.
ma chair s’éveille de son coma.
Si je suis ton passager clandestin,
tu es mon ombre, mon saint.
Oh, tu ne reviendras pas.
Mon âme est en dentelle,
tu t’es réparé de moi
avec des bouts de ficelles.
Tu erres dans mes cahiers,
tu flottes dans mon dos,
tu es mon envoyé,
mon alter-ego
Oh oh oh oh
Tout est si froid et sans fin,
qui sait ce qui me retient.
Je songe souvent au contact de nos peaux,
ce qu’il fait naître en moi de sauvage et de beau.
Oh, tu ne reviendras pas.
Mon âme est en dentelle,
tu t’es réparé de moi
avec des bouts de ficelles.
Tu erres dans mes cahiers,
tu flottes dans mon dos,
tu es mon envoyé,
mon alter-ego
Oh oh oh oh
Je songe souvent au contact de nos peaux,
ce qu’il fait naître en moi de sauvage et de beau.
Si je suis ton passager clandestin ;
tu es mon ombre, mon saint.
Si je porte ton fantôme,
toi, tu nourris mon syndrome.
Oh, tu ne reviendras pas.
Mon âme est en dentelle,
tu t’es réparé de moi
avec des bouts de ficelles.
Tu erres dans mes cahiers,
tu flottes dans mon dos,
tu es mon envoyé,
mon alter-ego
Oh oh oh oh