On se réveille un beau matin.
On fait comme si de rien.
Sur des promesses on s'éclabousse.
On se déteste quand la nuit fout la frousse.
Moi, j'ai tant besoin de toi ma solitude
pour mieux aimer, pour mieux chanter.
De solitude pour dire le fond de mes pensées.
Quelques heures avec toi pour s'envoler.
Tant de silence en moi
et tu prends bien trop de place ma solitude
comme une armée d'incertitudes,
comme un volcan qui ne veut pas mourir de froid.
On se fâche, on se croit plus fort.
On se gâche encore et encore... oh, oh.
Tu me supportes dans mes voyages
quand je suis fou ou sage.
Sur ce mur blanc où l'on s'enlace
en ce murmure, tant de choses qui s'effacent.
Moi, j'ai tant besoin de toi ma solitude
pour mieux aimer, pour mieux chanter.
De solitude pour dire le fond de mes pensées.
Quelques heures avec toi et m'envoler.
Tant de silence en moi
et tu prends bien trop de place ma solitude
comme une armée d'incertitudes
comme un volcan qui ne veut pas mourir de froid.
On se fâche, on se croit plus fort.
On se gâche encore et encore... oh, oh.