De la vie je ne prends
Que la dolce vita c’est tout
M’en voulez-vous ?
De l’amour je n’attends
Qu’une main sans la bague au doigt
Comprenez-vous
Ouh, oh…
M’en voulez-vous ?
ouh, oh...
Des garçons je ne prends
Que les plumes d’Indien, c’est tout
M’en voulez-vous ?
Des empereurs de Rome
Les lauriers et le vin, pas l’or
Ni les bijoux
Ouh, oh…
M’en voulez-vous ?
Ouh, oh...
De mon enfance
Je n’ai gardé dans mon cœur
Que l’insouciance
De ses crayons de couleur
Ça me suffit
Pour dessiner qui je suis
Ça me suffit
Pour m’inventer d’autres vies
De la vie je ne prends
Que la dolce vita c’est tout
M’en voulez-vous ?
De l’amour je n’attends
Qu’une main sans la bague au doigt
Comprenez-vous
Ouh, oh…
M’en voulez-vous ?
ouh, oh...
De mes histoires
Je n’ai pris que le meilleur
Les mots d’un soir
Les promesses des voyageurs
Ça me suffit
Pour decider qui je suis
Ça me suffit
Pour m’inventer d’autres vies
De la vie je ne prends
Que la dolce vita c’est tout
M’en voulez-vous ?
De l’amour je n’attends
Qu’une main sans la bague au doigt
Comprenez-vous
Ouh, oh…
M’en voulez-vous ?
ouh, oh...
Du marin je ne prends
Que les retours pas les adieux
M’en voulez-vous
Des milles et une nuit
Celles où près d’un cracheur de feu
J’ai rendez-vous
Ouh , oh…
M’en voulez-vous ?
ouh, oh...