On m'appelle un maniaque, un monstre
On m'appelle un tueur en série, une créature infernale
Un animal féroce, on pense que je suis un fruit d'imagination
La police me cherche, avec des autres services
On fait peur aux enfants désobéissants avec moi
Je fais cela pas pour la gloire, je hais
Tout simplement la majorité de gens
J'y trouve rien de particulier
Les gens c'est vraiment du fumier stupide
Je leur procure du plaisir en les aidant
À canner sans les notes cheesy
Par exemple, ne vous étonnez pas, je les mange tout simplement
De manière différente
Je peux bouffer cru
Dans une ruelle une nuit sans lune,
En hiver, devançant leur cri pitoyable
Je mords le noeud de la gorge
En vue de moment, s'ils clamsent
Pas direct, la galère commence
Ça gueule, ça prie, ça pue et ça chiale
Je les bute rapidos
Et les traîne en baluchons chez moi
Vaut mieux dépecer en baignoire
Avec un couteau bien affûté
Garder dans le frigo
Et si vous décidiez de le faire sur le balcon
Couvrez les d'une nappe
Pour que les pigeons-voisins
De haut ne s'étonnent pas
Mais la dalle me chasse
Je sculpte que le plus cher
Les hanches frites des skieurs
Garnis des pommes sautées et d'oignons
Sont de tout un autre niveau,
Comparées au fastfood
On dirait c'est de la viande usuelle
Mais le trip est tellement profond
Comme si j'ai mangé pas que le corps
Mais toute l'âme jusqu'à l'os
Et au final j'en fus tellement épaté
Que j'ai même oublié de quoi on causait
Ah! Je parlais de la chair humaine
Oui, y avait un gars que j'ai bouffé
Un moldavan de 18 piges
En avant - en ascendant,
Il n'y a pas de fin aux déchets
Mon travail est propre et rapide
Sans se faire cramer
La scie et l'acide détruisent le futile
Existent des antropophages aigris
Et des cannibales plutôt tendres
Les deux ont besoin de la chair humaine
Nous mourrons sans en consommer
Dans deux semaines
Dans les peines atroces
Avec des ampoules de terre
Je me rendrais aujourd'hui
Si je pouvais quelque part
Mais y a rien
J'aurais tout raconté à un toubib
Ou un prêtre
Mais je connais ces trouduc
L'aide ne viendra pas de l'extérieur
Je l'attends pas de l'intérieur non plus
Moi je peux aider à n'importe qui
Je vais tout faire à un décompte
"La mort massive - pour les normaux et les pédérastes"
Voici mon chant de guerrier
La mort aux habitants des palais
Studios, townhouses, colloc, taule
La mort à tous sans exception
Plus c'est effrayant mieux c'est
Plus, plus toujours plus
Seulement quand la mort est partout, comme de la neige en hiver
Je suis content de mes faits
Voici ma position
Et ça se négocie pas
Je suis vil et incidieux
Quant aux fleurs et au bétail
Au contraire, suis neutre
Habitué à tuer différemment
Ingénieux, j'ai pas de cibles préférées
Les mamies, les ados, les mannequins
Les adultes, les enfants innocents
Je comprends, j'ai peut-être perdu la boule
Mais je fais pas partie de ces blaireaux
Qui ont confiance en comprimés
Ou se rasent tous les jours
Moi, je suis déçu du destin
Le destin m'a fait fait recompter mes abbatis
La vie m'a appris la règle:
Ce qui est un plafond pour les petits
Pour les grands - c'est uniquement le sol
Je me rendrais aujourd'hui
Si je pouvais quelque part
Mais y a rien
J'aurais tout raconté à un toubib
Ou un prêtre
Mais je connais ces trouduc
L'aide ne viendra pas de l'extérieur
Je l'attends pas de l'intérieur
Moi je peux aider à n'importe qui
Je vais tout faire à un décompte