Le visage plein de peinture, honteux,
Mais ce n'est pas la peine de dire que tout est passé,
Tout n'est pas compréhensible ...
Tu étais assis en face de moi,
Tu ne disais rien, je ne disais rien ...
Mais rien d'avec toi, nous n'avons oublié ...
Je sais à coup sûr que tu m'appelleras
Et tu n'oublieras pas, tu ne le donneras pas et tu ne partiras pas,
Et je resterai, que ce soit ainsi, ton rêve,
Ton destin malheureux.
Je sais, plus jamais
Ne sera comme lorsque ma main se posait sur ta main
Et je ne t'appellerai plus jamais "bien-aimé" ...
J'oublierai tout ce que tu as dit, pardonne-moi, mais c'est tellement nécessaire,
Que les gens ne pouvaient pas comprendre nos points de vue.
Tu étais assis en face de moi, tu ne disais rien, je ne disais rien ...
Mais rien d'avec toi, nous n'avons oublié ...
Je sais à coup sûr que tu m'appelleras
Et tu n'oublieras pas, tu ne le donneras pas et tu ne partiras pas,
Et je resterai, que ce soit ainsi, ton rêve,
Ton destin malheureux.
Je sais, plus jamais
Ne sera comme lorsque ma main se posait sur ta main
Et je ne t'appellerai plus jamais "bien-aimé" ...
Je sais à coup sûr que tu m'appelleras
Et tu n'oublieras pas, tu ne le donneras pas et tu ne partiras pas,
Et je resterai, que ce soit ainsi, ton rêve,
Ton destin malheureux.
Je sais, plus jamais
Ne sera comme lorsque ma main se posait sur ta main
Et je ne t'appellerai plus jamais "bien-aimé" ...