Chaque printemps, les années ont l'air de noircir,
Le feuillage des arbres d'avoir toujours des couleurs un peu moins éclatantes,
Chaque jour de décroitre un rien avant le précedent,
Les visages de nos chers d'être plus pâles qu'ils le sont dans nos souvenirs.
Rapidement, dis-moi rapidement qu'il nous reste encore du temps.
Rapidement, dis-moi rapidement que le conte ne fait que de commencer.
Aux cieux, derrière la Lune, passé les Voies Lactées,
Aux hauteurs, aux merveilles telles que l'affection de l'humanité
Un oiseau foncé merveilleux survole la couhe céleste pour gagner la liberté
Un de nous corrompe sa destinée avec de l'or temporel,
Un de nous tasse une montagne de vertu visible jusqu'au ciel,
Un de nous pose ses pas avec précautions et considérations,
Un de nous gaspille son amour à tomber amoureux, et toujours
Rapidement, dis-moi rapidement qu'il nous reste encore du temps.
Rapidement, dis-moi rapidement que la vie ne fait que de commencer.
Aux cieux, derrière la Lune, passé les Voies Lactées,
Aux hauteurs, aux merveilles telles que l'affection de l'humanité
Un oiseau foncé merveilleux survole la couhe céleste pour gagner la liberté
C'est l'hiver, et la nuit comme dans les chansons :
Les amants couchent dans la neige, avec des anges
Qu'ils pensent voir dans le froid, ont leurs yeux
Braqués vers le voile lumineux de la voûte du ciel
Étoilé, la main passée à la main, serrés côte à côte
Aux cieux, derrière la Lune, passé les Voies Lactées,
Aux hauteurs, aux merveilles telles que l'affection de l'humanité
Un oiseau foncé merveilleux survole la couhe céleste pour gagner la liberté