Les mots sont restés à l'identique
Je l'ai constaté quand je fesais selon mes plaisirs
Je ne crois plus aux rêves, ceux qui sont roses
Le soir quand je brûle de désir
Mes mots se sont coincés dans la gorge
J'ai gardé le silence et que pouvais-je contre moi
L'homme ainsi décidé, l'homme ne dit rien
Et recommence tout
A qui tu tends l'oreille
Qui te souffle toutes les phrases belles
Quand tu en as besoin
Sans jamais se lasser
Dis-moi qui tu embrasses
Contre qui tu poses ta hanche de femme
Et sur qui tu soupires
La nuit sans pouvoir dormir
Les mots sont restés à l'identique
Je l'ai constaté quand je fesais selon mes plaisirs
Je ne crois plus aux rêves, ceux qui sont roses
Le soir quand je brûle de désir
Mes mots se sont coincés dans la gorge
J'ai gardé le silence et que pouvais-je faire contre moi
L'homme ainsi décidé, l'homme ne dit rien
Et recommence tout
A qui tu tends l'oreille
Qui te souffle toutes les phrases belles
Quand tu en as besoin
Sans jamais se lasser
Dis-moi qui tu embrasses
Contre qui tu poses ta hanche de femme
Et sur qui tu soupires
La nuit sans pouvoir dormir
Les mots sont restés à l'identique
Je l'ai constaté quand je fesais selon mes plaisirs
Je ne crois plus aux rêves, ceux qui sont roses
Le soir quand je brûle de désir
Mes mots se sont coincés dans la gorge
J'ai gardé le silence et que pouvais-je faire contre moi
L'homme ainsi décidé, l'homme ne dit rien
Et recommence tout