Tellement de nuits
Là sur la falaise
C'était si à l'aise
Le vent choie deux
Amants
Quelque différents
L'un radotait sur des grandes routes
et sur des temps orageux
L'autre radotait sur des noces
Tellement de nuits
Là sur la falaise
C'était si à l'aise
Mais ensuite venait le sombre automne
Son quotiden fatigué et monotone
Il/elle était si beau/belle ce soir-là, ma foi
Quand j'ai dit : chéri(e) je ne peux être à toi
Non, je ne vais pas toujours, c'est trop long
Toujours c'est trop long
Toujours c'est trop long
Ca dépresse la tête
Ca me révéille la nuit
Et l'hiver, allons c'était
Si bien étrange
Moite et osseux
Par la fenêtre il neige
En fondant dans la pièce
Je me languis pour toi
Et je passait par des grande route
Et des temps orageux
Et tout et rien
Et l'hiver, allons c'était
Si bien étrange
Moite et osseux
Et le mois de mai m'a pris l'onscurité
Je marchait les nuits, je pensait à quoi j'ai fais
La mer était si belle ce matin-là cette fois
J'ai compris que tu ne sera plus jamais à moi
Et que toujours c'est trop long...
Mais ensuite venait le sombre automne
Son quotiden fatigué et monotone
Il/elle était si beau/belle ce soir-là, ma foi
Quand j'ai dit : chéri(e) je ne peux être à toi
Et que toujours c'est trop long...