J’ai toujours connu cet olivier
Petit, robuste et tellement beau
Mais un jour il fléchira
Ses feuilles vertes resteront au sol.
Puis petit à petit, disparaitront sous la terre.
C’est peut-être tant mieux pour lui,
Et qui sait ? Il aura certainement repoussé ailleurs…
Aussi longtemps que je vivrai,
J’arroserai d’eau (et de pleurs)
Le souvenir de celui qui sans le savoir
Est l’arbre que j’ai le plus admiré.
Au nouveau Printemps,
Il n’aura plus de feuilles,
Ni celui là, ni aucun autre.
Je voudrais qu’il soit éternel, cet olivier !