Pendant les rares moments de pause,
Où il ne répare pas quelque chose,
Il cherche le coin disponible où
L'on peut encor planter un clou (boîte à outils). (×2)
Le clou qu'il enfonce à la place
Du clou d'hier, il le remplace-
Ra demain par un clou meilleur,
Le même qu'avant-hier d'ailleurs.
Mon Dieu, quel bonheur !
Mon Dieu, quel bonheur
D'avoir un mari qui bricole
Mon Dieu, quel bonheur !
Mon Dieu, quel bonheur
D'avoir un mari bricoleur
{Boîte à outils} (×2)
Au cours d'une de mes grossesses,
Devant lui je pestais sans cesse
Contre l'incroyable cherté
D'une layette de bébé. {boîte à outils} )×2)
Mais lorsque l'enfant vint au monde,
Je vis avec une joie profonde
Que mon mari s'était débrouillé
Pour me le faire tout habillé.
Mon Dieu, quel bonheur !
Mon Dieu, quel bonheur
D'avoir un mari qui bricole
Mon Dieu, quel bonheur !
Mon Dieu, quel bonheur
D'avoir un mari bricoleur
{Boîte à outils} (×2)
À l'heure actuelle, il fabrique
Un nouveau système électrique,
Qui va permettre à l'homme, enfin,
De faire de l'eau avec du vin. {boîte à outils} (×
Mais dans ses calculs il se trompe,
Et quand on veut boire à la pompe,
Il nous arrive d'ingurgiter
Un grand verre d'électricité.
Mon Dieu, quel bonheur !
Mon Dieu, quel bonheur
D'avoir un mari qui bricole
Mon Dieu, quel bonheur !
Mon Dieu, quel bonheur
D'avoir un mari bricoleur
{Boîte à outils} (×2)
Comme il redoute que des canailles
Convoitent ses rabots, ses tenailles,
En se couchant, il les installe
Au milieu du lit conjugal. {boîte à outils} (×2)
Et souvent, la nuit, je m'éveille,
En rêvant aux monts et merveilles
Qu'annonce un frôlement coquin,
Mais ce n'est qu'un vilebrequin !
Mon Dieu, quel malheur,
Mon Dieu, quel malheur
D'avoir un mari qui bricole !
Mon Dieu, quel malheur,
Mon Dieu, quel malheur
D'avoir un mari bricoleur !