La vie que j’ai décidée,
je l’ai écrite comme un livre
de phrases à citer,
comme des flèches à pointer.
La vie que j’ai décidée,
je la voulais forte
comme les mains de mon père
pour me faire traverser.
La vie que j’ai décidée,
mon plus bel habit,
en attendant une occasion comme si c’était une saison,
comme une bonne idée
à laquelle ne pas renoncer,
avec les yeux rouges de quelqu’un qui court parce qu’il ne peut plus attendre.
Ici, les souvenirs défilent entre les enchevêtrements d’émotions.
Il y aura un moment pour rester seuls
et je fixerai la porte
par laquelle tu veux t’en aller.
Parce que rien, plus rien ne peut plus me faire mal.
C’est toi mon deuxième cœur.
C’est toi l’été qui me fait me déshabiller.
C’est toi mon deuxième cœur,
une lumière qui réussit à entrer.
Il y a toujours besoin de toi,1
il y a encore besoin de toi.
J’ai toujours besoin de toi plus moi,
il y a toujours besoin de toi.
J’adore ce besoin de toi.
J’ai toujours besoin de toi plus moi.
La vie que j’ai décidée,
chaque instinct naturel,
dans tous les dictionnaires, il existe le mot « amour »
et pourtant il n’y a pas écrit
que nous sommes exceptionnels
à nous regarder au fond des yeux sans céder faxe aux problèmes.
Le bruit des souvenirs comme des feuilles sur la route,
cette nuit où je voudrais te trouver chez moi.
Et je fixerai la porte de laquelle tu pourras revenir.
Et puis rien, rien ne peut plus nous faire de mal.
C’est toi mon deuxième cœur,
une musique face à la mer.
C’est toi mon deuxième cœur,
l’unique endroit où je veux aller.
Il y a toujours besoin de toi.
J’ai encore besoin de toi.
J’ai toujours besoin de toi plus moi.
Il y a toujours besoin de toi.
Il y a encore besoin de toi.
Depuis toujours j’ai besoin de toi.
C’est toi mon deuxième cœur...
mon deuxième cœur...
Il y a toujours besoin de toi.
Il y a encore besoin de toi.
Depuis toujours j’ai besoin de toi plus moi.
Il y a toujours besoin de toi plus moi.
1. Je sais que ce n’est pas idiomatique, mais sinon ça ferait trop de répétitions.