Oh ! mouette volante qui tournoie près de la mer
et au gré du vent en haute mer, tu vas tournoyant jusqu’à arriver à la plage ensoleillée, plage aux souvenirs enchanteurs,
où jour et nuit y a été la fille de mes amours....
Quand tu la verras seule près de la vague calme
donnes lui le baiser le plus fervent que je lui envoie
dis lui que je sens une douce mélancolie
et que je pense à elle à tout moment.
Oh ! Si comme toi, mouette, je pouvais traverser la mer pour arriver à la plage, où il est si doux de se souvenir et de voir l’image brune, du beau réveil
de la fille qui entre des rêves il est tant agréable de caresser....
Quand tu la verras seule près de la vague calme
donnes lui le baiser le plus fervent que je lui envoie
dis lui que je sens une douce mélancolie
et que je pense à elle à tout moment.