Comme elle est triste, la cité à l'aube,
Quand je marche dans les rues sans amour.
Les bureaux avec leurs lumières éteintes
Et leurs vitrines avec des enseignes au néon.
Comme elle est triste, la grande ville à l'aube,
Quand il y a des choses que tu ne peux pas comprendre,
Quand tu vois cet amour que tu aimais tant,
Il n'est plus là, il ne revient plus, il est encore parti.
Ton souvenir est dans mon âme et j'ai froid,
Mon monde est vide, il est sans amour.
Quelle est triste, la cité, à l'aube,
Quand tu sens que tu es seul, sans amour,
quand tout t'indiffères, tu n'as aucun désir, oh non...
Quand tu vois que tout est vide, sans amour.
Quand tu n'es pas là, les lieux ne sont plus pareil
Et je tombe dans un abîme, en dépression.
Que cette cité est triste quand tu me manques!
J'erre sans but, sans aucune direction.
Ton souvenir est dans mon âme et j'ai froid,
Mon monde est vide, il est sans amour.
Quelle est triste, la grande ville, à l'aube,
Quand tu sens que tu es seul, sans amour,
quand tout t'indiffères, tu n'as aucun désir, oh non...
Quand tu vois que tout est vide, sans ton amour.
Ton souvenir est dans mon âme et j'ai froid,
Mon monde est vide, il est sans amour.
Quelle est triste, la cité, à l'aube,
Quand tu sens que tu es seul, sans amour,
quand tout t'indiffères, tu n'as aucun désir, oh non...
Quand tu vois que tout est vide, sans ton amour.
Quelle est triste, la grande ville, à l'aube,
Quand tu sens que tu es seul, sans amour,
quand tout t'indiffères, tu n'as aucun désir, oh non...
Quand tu vois que tout est vide, sans ton amour,
Quand tu vois que tout est vide, sans ton amour.