À l’ombre de la voile le pêcheur était assis
Lente la barque glissait sur la rivière
Le long des deux rives, seulement des arbres fleuris
Tandis qu’il perdait et oubliait le temps de son voyage...
Serein il naviguait, quand, à l’improviste
La rivière se cacha dans une gorge obscure
Et il fit nuit sans que le mont ne s’ouvrît
Et alors lui apparut, au milieu du nuage, inconnue, une plaine...
L’île.... inconnue, l’île
Maintenant, il la voyait.... si proche
Et alors il remonta la rivière, heureux,
Certain de pouvoir retrouver un jour trace de son voyage....
À l’ombre de la voile le pêcheur était assis
Il laissait glisser la barque le long de la rivière
Mais la route pour l’île, il ne sut la retrouver
Tandis qu’il naviguait, s’évanouissait toujours plus,
le souvenir de son voyage...
L’île... inconnue l’île
Maintenant, il la voyait... si proche