Ou es-tu à présent? Je ne peux te trouver.
Je suis assis à tes côtés, aucune chaleur émane de toi.
Tout trépasse, c'est la coutume de la Mort.
Je vous ai blessé et trahi dans mon ignoble jeu.
Un cœur mort à tant de valeur.
Cet amer sentiment de haine, me torture toujours.
Dans les serres cruelles de la Mort, la tristesse romps les fils.
Tu me manques déjà, mon amour, je t'appelle.
J’essaie de rester droit, mais je sais que je finirai seul.
Car la haine noire résidant dans nos cœurs est notre Seigneur.
Ce qui alimentait la vie est tombé dans le coma.
Je m'abandonne, le combat est fini, je tombe à genoux.
Sur la lame dansante et douloureuse du couteaux chancelant.