C’est pas la peine de se priver d’amour,
je veux t’aimer, pour toi, sans détour.
C’est dans tes veines que l’espoir a pris feu.
Je lis « je t’aime » là-bas, dans tes yeux.
J’ai envie de toi debout sur la terre
de survivre avec toi au bout de l’enfer.
L’amour ne fait pas l’aumône
et sur nos corps il est moi.
Même s’il y a un fantôme
qui depuis peu fait la loi,
je refuse d’être l’otage
du premier baiser qui tue.
Et puisqu’on est de passage,
faisons l’amour défendu.
Aimons-nous comme deux mômes
qui ne savent rien de tout ça.
Et j’ai la clé du royaume
quand je te tiens dans mes bras.
Moi, je me fous du sursis
et des frontières à franchir.
Je t’aime d’amour et tant pis
si je devais en mourir.
Je ne connais rien de plus beau
que l’appel de ta peau.
Tant que tu m’aimes dans ce jardin maudit,
je m’y promène, heureux, cœur ouvert,
et tu m’entraînes à l’amour interdit,
y a rien à faire, je t’aime, tout est clair.
L’amour ne fait pas l’aumône
et sur nos corps il est moi.
Même s’il y a un fantôme
qui depuis peu fait la loi,
je refuse d’être l’otage
du premier baiser qui tue.
Et puisqu’on est de passage,
faisons l’amour défendu.
Aimons-nous comme deux mômes
qui ne savent rien de tout ça.
Et j’ai la clé du royaume
quand je te tiens dans mes bras.
Moi, je me fous du sursis
et des frontières à franchir.
Je t’aime d’amour et tant pis
si je devais en mourir.
L’amour ne fait pas l’aumône
et sur nos corps il est moi.
Même s’il y a un fantôme
qui depuis peu fait la loi,
je refuse d’être l’otage
du premier baiser qui tue.
Et puisqu’on est de passage,
faisons l’amour défendu.
Aimons-nous comme deux mômes
qui ne savent rien de tout ça.
Et j’ai la clé du royaume
quand je te tiens dans mes bras.
Moi, je me fous du sursis
et des frontières à franchir.
Je t’aime d’amour et tant pis
si je devais en mourir.
Je ne connais rien de plus beau
que l’appel de ta peau,
que l’appel de ta peau.