L'automne à Paris me tourner la tête,
là où le ciel gris me fait des courbettes,
Pour un dernier bal, le (grand) jour
dans les feuilles, d'un étrange mal,
j'ai le coeur qui s'endeuille,
L'automne à Paris, c'est comme un poème,
qui fait du roulis le long de la Seine,
Un soleil fanné, dans le rues, divague,
laissant aux pavés, un peu de l'été, en gage,
Doucement ta main vient chercher la mienne,
Et moi je sais bien que c'est surtout toi
que j'aime, quand j'aime l'automne à Paris.