Mon sommeil est coupé
C'est encore le bébé qui pleure sa faim
Et l'idée de te réveiller me heurte dur
Même si je me sens viril
Je ne me roule pas dessus
Le sommeil te fait déjà assez défaut
Je suis obligé de me lever
Je fais une tartine pour l'enfant
Et j'y étale un généreux tas de jambon
Le voilà qui zozote
Je constate d'abord à ma stupéfaction
Que le petit n'a même pas une seule dent
Tiens, du pain, mon petit cher