. . Quand on marche dans la campagne, lui confie-t-elle encore, il arrive que l'on rencontre sur son chemin des masses considérables. Ce sont des montagnes, et il faut tôt ou tard se mettre à plier les genoux. Rien ne sert de résister, on ne pourrait plus avancer, même en se faisant du mal.
. . Ce n'est pas pour blesser que je le dis. Je pourrais dire d'autres choses, si je voulais vraiment blesser.