Je sais, que tu sais, que je t'aime.
N'est-ce pas que tu le sais,
Jamais je ne t'en ai fait l'aveu.
Mais, je sais que tu sais tout, quand même,
Car tu sais lire dans mes yeux.
Mon cœur est pour toi sans mystère,
N'est-ce pas que c'est bien vrai,
tu suis tous mes rêves, pas à pas.
Tu lis en moi, beaucoup mieux, qu'en toi-même,
Car tu m'aimes... et tu ne le sais pas
Quand je suis près de toi, jamais je ne m'ennuie,
Mais toi, quand je suis là, tu n'es pas triste.
Hier soir je t'ai quittée très optimiste,
Et j'ai rêvé de toi, toute la nuit,
En rêve tu m'as dit, ce que tes lèvres closes,
Avaient inconsciemment dans l'ombre refoulé.
Mais tu sais comment Freud interprète les choses.
Le rêve était de moi, mais ton cœur m'a parlé...
Je sais, que tu sais, que je t'aime,
N'est-ce pas que tu le sais,
Jamais je ne t'en ai fait l'aveu.
Mais je sais que tu sais tout, quand même,
Car tu sais lire dans mes yeux
Mon cœur est pour toi sans mystère
N'est-ce pas que c'est bien vrai
tu suis tous mes rêves pas à pas
Tu lis en moi, beaucoup mieux, qu'en toi-même,
Car tu m'aimes... et tu ne le sais pas