Un soleil inattendu ne se refuse pas
Je ne t'oublierai jamais, je reviens à toi
Si c'est Dieu qui l'a voulu, c'est un jour de joie
Il y a de la poésie dans cette vie, je crois
Je vois la tour Montparnasse plantée devant moi
Au coin de la rue Madame, je reviens à toi
Je me rends à Saint-Sulpice, je me rends tu vois
Il y a de la poésie, mon cœur ici bat
Je bois un café serré au comptoir en bois
Je prends la rue des Canettes, je reviens à toi
Le passé, les courants d'air, les mots d'autrefois
De Villon, d'Apollinaire, trottent dans le froid
Au sortir de mes pensées je repasse la Seine
Sur le Pont des Arts je vais, je reviens à toi
Tous les jours je m'y revois traversant ma peine
Comme le vent dans la plaine
La nuit sur les toits
Que cette ville est jolie en disant cela
Ton visage m’apparaît, je reviens à toi
Voila une journée qui traîne un peu à mon bras
Un nuage dans sa traîne, c'est la vie qui va
Un soleil inattendu ne se refuse pas
Je ne t'oublierai jamais, je reviens à toi
Si c'est Dieu qui l'a voulu, c'est un jour de joie
Il y a de la poésie dans cette vie, je crois
Je bois un café serré au comptoir en bois
Je prends la rue des Canettes, je reviens à toi
Le passé, les courants d'air, les mots d'autrefois
De Villon d'Apollinaire, traînent dans le froid
Où sortir de mes pensées je repasse la Seine
Sur le Pont des Arts je vais, je reviens à toi
Tous les jours je m'y revois traversant ma peine
Comme le vent dans la plaine
La nuit sur les toits
Un soleil inattendu ne se refuse pas
Je ne t'oublierai jamais, je reviens à toi
Si c'est Dieu qui l'a voulu, c'est un jour de joie
Il y a de la poésie dans cette ville, je crois