J'entends les sept péchés capitaux
Et les abominables jumeaux sont venus t'appeler
Plus grands ils sont
Plus durs sera leur chute sur toi
Et toi tu es toujours le même
Tu persévère sur le même vieux terrain de plaisir
Oh, et il ne pleut jamais par ici
Il ne fait que pleuvoir à verses
Tu n'avais plus de volontaires
Donc tu as eu que des profiteurs pour t'aider
Bien qu'avec des amis comme ça bébé
De bons amis tu as du te passer
Et maintenant ils ont pris les chaines et les engrenages
De ton manège
Oh et il ne pleut jamais par ici
Il le fait juste que de pleuvoir à verse
Et ton nouveau Romeo
Était juste un gigolo quand il t'a laissé
Vois que plus rapide ils sont bébé
Plus rapide, ils s'enfuient de la ville
En ne laissant que des taches de maquillage et les larmes d'un clown
Oui et il ne pleut jamais par ici
Il ne fait que pleuvoir à verse
Oh tu était juste un souvenir de montagnes russes
Je ne sais même pas pourquoi je passais par là
Je t'ai vu avoir un rendez-vous avec le destin
Ouais, Ils viennent par ici demandant de tes nouvelles
Dans l'ombre de la roue de la fortune
Tu es occupé à essayer de redorer ton blason
Tu dis "Je suis peut-être coupable ouais c'est peut-être vrai"
"Mais je mentirais si je disais que j'était à blâmer"
Vois que nous aurions pu être de grands concurrents
On n'a jamais d'argent ni de chance
Tu as une liste de tous les principaux délinquants
Tu as une liste de tous leurs crimes
Et il se juste là dans l'ombre
Oui et tu souris de ce sourire enjôleur
Oh, et je peux toujours t'entendre dire aussi clairement que le jour
"J'aimerais que ça vaille la peine pour toi"
Oh, c'est un triste rappel
Quand ton joueur d'orgue de barbarie doit venir chez toi pour être loué
Et tout ce que tu as à lui donner
Est l'usage de ta tente de spectacle
Oui, c'est tous ce qu'il reste des années
Passé à faire des tours
Et il ne pleut jamais par ici
Il ne fait que pleuvoir à verses
Maintenant tu sais ce qu'ils disent des mendiants
Tu ne peux pas te plaindre des règles
Tu sais ce qu'ils disent des mendiants
Tu sais qui est le premier à accuser ses outils
Tu es toujours foutu à qui te prenais
Et de le laisser par terre saigné à blanc
Tu bousillais les gens en montant
Car tu pensais que tu ne descendrais jamais
Et il t'a emmené hors de la Vallée de Vaudeville
Avec ses mains étouffant tes cris
Et il t'a baisé à Tin Pan Alley
Dans la ville d'un milliards de rêves